Dans une révélation fascinante, Danny Boyle partage comment l’utilisation d’iPhones a permis de capturer l’essence brutale et la beauté naturelle dans son dernier film, ’28 Years Later’. Ce retour aux sources post-apocalyptiques, inspiré par la pandémie de Covid-19, marque un moment plein cercle pour le réalisateur britannique.
Une innovation technologique au service de la créativité
Danny Boyle a toujours été un pionnier dans l’utilisation de la technologie pour servir sa vision cinématographique. Pour ’28 Days Later’, il avait opté pour des caméras Canon numériques, légères et à faible résolution, pour filmer les rues désertes de Londres. Près de trois décennies plus tard, pour ’28 Years Later’, Boyle a choisi les iPhones pour leur portabilité et leur haute résolution, permettant de capturer des paysages sauvages et des scènes de violence avec une intensité remarquable.
L’influence de la pandémie sur le film
La pandémie de Covid-19 a joué un rôle clé dans la décision de Boyle de revenir à l’univers de ’28 Days Later’. Les villes vidées de leurs habitants et les comportements humains face au risque ont inspiré le scénario, explorant comment une communauté isolée gère la menace persistante d’un virus rageur.
L’héritage de ’28 Days Later’
Bien que Boyle ait largement influencé le genre zombie avec son film original, il avoue éviter les films de zombies pour ne pas être trop influencé ou évitant. Cependant, il reconnaît l’impact de jeux comme ‘The Last of Us’ sur ’28 Years Later’, montrant comment les influences circulent dans le genre.