Dans une révélation fascinante, Danny Boyle partage comment l’utilisation d’iPhones pour le tournage de ’28 Years Later’ a offert une liberté sans précédent pour capturer des scènes d’une violence intense et des paysages apocalyptiques. Le réalisateur britannique explore également l’impact de la pandémie de Covid-19 sur sa vision du film et comment la technologie mobile a révolutionné le cinéma.
Une révolution technologique au service du cinéma
Danny Boyle a toujours été un pionnier dans l’utilisation de la technologie pour raconter des histoires. Avec ’28 Years Later’, il pousse cette innovation encore plus loin en utilisant des iPhones pour capturer des scènes d’une brutalité saisissante et des paysages désolés. Cette approche a permis à l’équipe de tourner dans des lieux autrement inaccessibles, comme les vastes étendues sauvages de Northumbrie, avec une agilité et une discrétion impossibles avec des caméras traditionnelles.
L’influence inattendue de la pandémie
La pandémie de Covid-19 a eu un impact profond sur la vision de Boyle pour ’28 Years Later’. Les villes vidées de leurs habitants et les comportements humains face au danger ont inspiré de nouvelles directions narratives, explorant comment les survivants pourraient prendre des risques calculés des années après une apocalypse.
L’héritage d’un genre redéfini
’28 Days Later’ a radicalement transformé le genre zombie, introduisant des infectés rapides et une tension psychologique intense. Boyle admet ne pas suivre les évolutions du genre, préférant laisser cette tâche à son collaborateur de longue date, Alex Garland, tout en reconnaissant l’influence mutuelle entre son œuvre et des titres récents comme ‘The Last of Us’.
