Dans son dernier ouvrage, *By Any Other Name*, Jodi Picoult plonge dans les méandres de l’histoire pour révéler comment les contributions des femmes ont été systématiquement occultées. Une exploration audacieuse qui imagine un monde où les œuvres de Shakespeare auraient pu être écrites par une femme.
Une voix contre l’oubli
Jodi Picoult, avec sa plume acérée, soulève une question brûlante : comment l’histoire a-t-elle pu ignorer à ce point les femmes ? Son nouveau roman n’est pas qu’une fiction ; c’est un miroir tendu vers notre passé, révélant les silences imposés.
Shakespeare réinventé
Et si les plus grandes œuvres attribuées à Shakespeare avaient été en réalité l’œuvre d’une femme ? *By Any Other Name* explore cette possibilité, offrant une relecture audacieuse de l’histoire littéraire. Picoult invite à repenser nos certitudes.
Un club de lecture engagé
Cette discussion s’inscrit dans le cadre d’un club de lecture dédié à mettre en lumière les voix souvent étouffées. Picoult y partage ses réflexions sur l’importance de redonner leur place aux femmes dans le récit historique.
