Malgré des accords commerciaux majeurs et des avancées économiques significatives pour le Royaume-Uni, Keir Starmer, le Premier ministre britannique, voit sa popularité atteindre un niveau historiquement bas. Cet article explore les raisons derrière ce paradoxe.
Des réalisations économiques notables
Keir Starmer, à la tête du gouvernement britannique depuis un an, a réussi à conclure des accords commerciaux importants avec les États-Unis, l’Inde et l’Union européenne. Ces accords promettent de stimuler l’économie et les salaires au Royaume-Uni.
Une popularité en chute libre
Pourtant, les sondages récents montrent une image bien différente de son succès. Selon YouGov, 69% des électeurs ont une opinion défavorable de Starmer, un record. Plus inquiétant, cette baisse de popularité touche particulièrement les électeurs traditionnels du Labour.
Pressions domestiques et défis économiques
Alors que le gouvernement met en avant ses réussites en matière de commerce international, les Britanniques sont préoccupés par la hausse du coût de la vie et les entreprises font face à des augmentations d’impôts. L’inflation, en particulier, pèse lourd sur les ménages.
Un style de leadership critiqué
Starmer est également critiqué pour son manque de charisme et son style de leadership jugé trop prudent. Contrairement à des figures comme Nigel Farage ou Boris Johnson, il peine à captiver l’électorat.