Le Premier Ministre du Qatar a fermement rejeté les accusations selon lesquelles l’offre d’un jet de luxe à l’ancien président américain Donald Trump était une tentative de s’attirer les faveurs de la Maison Blanche. Cette affaire a suscité des critiques de la part des démocrates, qui y voient un acte de corruption potentiel.
Un geste d’alliance, pas de corruption
Le Premier Ministre qatari, Sheikh Mohammed bin Abdulrahman al-Thani, a qualifié cette offre de « simple échange entre deux pays ». Il a souligné que la relation entre le Qatar et les États-Unis est « très institutionnelle » et que cette transaction s’inscrit dans le cadre d’une coopération de longue date entre les deux nations.
Une controverse politique
Cette proposition a déclenché une vague de critiques de la part des politiciens de l’opposition américaine, notamment des démocrates qui y voient une violation de la Constitution américaine. Ils ont soumis une résolution à la Chambre des représentants pour exiger que Trump soumette tous les plans relatifs à ce don au Congrès.
La défense de Trump
De son côté, Donald Trump a défendu ce geste comme une contribution au Département de la Défense, soulignant qu’il s’agissait d’un « geste très sympa » et non d’un cadeau personnel. Il a également mentionné que le jet serait utilisé pour remplacer temporairement l’avion présidentiel Air Force One.
