Dans une interview récente, Sophie Chandauka, présidente de l’association Sentebale, cofondée par le Prince Harry, a accusé ce dernier de harcèlement et d’intimidation à grande échelle. Ces accusations surviennent après la démission publique du Prince Harry et d’autres membres clés de l’organisation.
Des accusations graves portées contre le Prince Harry
Sophie Chandauka a déclaré que le Duc de Sussex avait déployé « la machine de relations publiques des Sussex » contre elle, suite à sa démission en tant que patron de Sentebale. Elle a décrit cette action comme un acte de harcèlement et d’intimidation affectant non seulement elle-même mais aussi les 540 membres de l’organisation et leurs familles.
Les réactions des parties concernées
Une source proche des administrateurs et des patrons de l’association a affirmé qu’ils avaient anticipé cette publicité et pris leur décision de démissionner en conséquence. Ils restent fermes dans leur décision, espérant que la vérité sera établie.
Un conflit sous-jacent révélé
Chandauka a également évoqué des tensions entre le personnel basé au Royaume-Uni et ceux en Afrique australe, attribuant ces frictions à ses efforts pour réformer l’association et décentraliser la prise de décision. Le Prince Harry, de son côté, a exprimé son choc après avoir quitté l’association qu’il a fondée en 2006 pour aider les jeunes atteints du VIH et du SIDA.
Des déclarations qui en disent long
Dans une déclaration commune, le Prince Harry et son cofondateur ont annoncé leur démission « avec un cœur lourd ». Chandauka, dans sa propre déclaration, a semblé critiquer le prince pour « jouer la carte de la victime », insistant sur son engagement envers l’intégrité de l’organisation et des jeunes qu’elle sert.