Dans un mouvement marquant, l’ancien président Donald Trump a approuvé la fusion entre U.S. Steel et Nippon Steel du Japon, suite à la signature d’un accord de sécurité nationale. Cet accord historique inclut une ‘action dorée’ pour le gouvernement américain, assurant des engagements spécifiques en matière de gouvernance et de production domestique. Découvrez les détails de cette transaction qui redéfinit l’industrie sidérurgique.
Une fusion historique sous le signe de la sécurité nationale
Donald Trump a signé un décret présidentiel approuvant la fusion entre U.S. Steel et Nippon Steel, après que les deux entreprises ont conclu un accord de sécurité nationale avec le gouvernement américain. Cet accord accorde au gouvernement une ‘action dorée’, bien que les détails sur les pouvoirs exacts qu’elle confère restent flous.
Engagements et investissements futurs
Les entreprises ont annoncé que tous les approbations réglementaires nécessaires ont été obtenues, permettant une finalisation rapide de l’accord. Nippon s’est engagé à investir 11 milliards de dollars d’ici 2028, incluant un projet initial qui sera achevé après cette date.
Un revirement politique notable
Initialement opposé à cette vente, Trump a changé de position après son entrée en fonction, ordonnant une révision de l’accord en avril. Ce revirement contraste avec la décision de Joe Biden de bloquer la vente, invoquant des préoccupations de sécurité nationale.
Les implications pour les travailleurs et l’industrie
Trump a assuré aux travailleurs de U.S. Steel que Nippon serait un ‘excellent partenaire’, promettant aucune externalisation et des bonus de 5 000 dollars. De plus, il a annoncé le doublement des tarifs douaniers sur les importations d’acier, maintenant à 50%.
