La famille Trump lance un réseau mobile, Trump Mobile, accompagné d’un téléphone estampillé Trump, le T1, affirmant que ce dernier sera fabriqué aux États-Unis. Ce lancement marque une nouvelle aventure dans le secteur des télécommunications pour la famille Trump, avec des détails qui suscitent à la fois curiosité et scepticisme.
Un Lancement Audacieux
Trump Mobile fait son entrée sur le marché avec un forfait unique, « Le Plan 47 », proposé à 47,45$ par mois, promettant une couverture équivalente à celle des trois principaux opérateurs. Bien que compatible avec les téléphones existants, l’entreprise propose également le T1 Phone, un appareil à finition dorée au prix de 499$, annoncé comme « Bientôt Disponible ».
Les Mystères du T1 Phone
Les spécificités du téléphone restent floues. Une image présentée sur la page du produit montre un appareil doré avec un logo « T1 » et un drapeau américain à l’arrière, évoquant une ressemblance avec les modèles iPhone Pro récents. Cependant, l’agencement des lentilles et l’absence de flash soulèvent des questions.
Des Spécifications Prometteuses mais Imparfaites
Le T1 Phone serait équipé de 12GB de RAM et de 256GB de stockage extensible, avec un écran OLED de 6,78 pouces et une batterie de 5000mAh, incluant même une prise jack 3.5mm. Malgré ces atouts, l’appareil photo principal de 50 mégapixels est accompagné de capteurs macro et de profondeur de seulement 2 mégapixels, sans objectif ultra-large.
Une Aventure aux Conséquances Incertaines
L’annonce de ce nouveau projet intervient peu après le dépôt de marques pour « Trump » et « T1 » dans le secteur des télécommunications. Cependant, la régulation d’un réseau appartenant à la famille du président par le président de la FCC, Brendan Carr, pourrait poser des défis.
Un Secteur en Pleine Ébullition
Les Trump ne sont pas les seules personnalités publiques à s’intéresser aux télécoms. Après la vente de Mint Mobile par Ryan Reynolds à T-Mobile en 2023, le lancement de SmartLess Mobile par les stars d’Hollywood Will Arnett, Jason Bateman, et Sean Hayes témoigne de l’attractivité croissante de ce secteur.